Gisèle Bonne Identifier les anomalies génétiques responsables des cardiomyopathies hypertrophiques et des dystrophies d'Emery-Dreifuss
Gisèle Bonne, post-doctorante, Department of Microbiology and Immunology, Albert Einstein College of Medicine, Bronx N-Y (États-Unis), dans le laboratoire du Professeur Leslie Leinwand.
- 1994 • Prix Bettencourt pour les jeunes chercheurs
Le Prix Bettencourt pour les jeunes chercheurs 1994 récompense Gisèle Bonne, post-doctorante, pour ses recherches sur la génétique des cardiomyopathies hypertrophiques et des dystrophies d'Emery - Dreifuss.
Le sujet de recherche de la lauréate
Gisèle Bonne s'intéresse aux maladies neuromusculaires rares, dues à des mutations génétiques, telles que les cardiomyopathies hypertrophiques et les dystrophies d'Emery-Dreifuss.
Maladies du muscle cardiaque, les cardiomyopathies hypertrophiques se caractérisent par un épaississement anormal des parois ventriculaires. La dystrophie musculaire d'Emery-Dreifuss cause une diminution de force musculaire et un manque de mobilité des articulations.
Les travaux de recherche de Gisèle Bonne visent à identifier les anomalies génétiques responsables de ces maladies.
Prix Bettencourt pour les jeunes chercheurs
Créé en 1990, le Prix pour les jeunes chercheurs est l’une des premières initiatives de la Fondation Bettencourt Schueller. Jusqu'en 2021, ce prix était décerné chaque année à 14 jeunes docteurs en sciences ou docteurs en médecine, pour leur permettre de réaliser leur séjour post-doctoral dans les meilleurs laboratoires étrangers. 349 jeunes chercheurs ont été distingués. La dotation du prix était de 25 000 euros.
Tous les lauréats du prix