L'association Agir pour l’école entend améliorer les méthodes d’apprentissage pour réduire les difficultés de lecture et l’échec scolaire induit. Cette association s’inscrit dans une démarche expérimentale fondée sur les résultats de la recherche et menée avec le ministère de l’Éducation nationale.

Une expérimentation fondée sur la recherche

Chaque année, 300 000 élèves entrent en 6e avec de grandes difficultés scolaires. Un tiers ne savent tout simplement pas lire. Cela représente 40 % de la classe d’âge. Or, les difficultés de lecture sont la principale raison de l’échec scolaire. L’association Agir pour l’école fait de l’apprentissage de la lecture le cœur de son action.

Sur les fondements de travaux menés en France et aux États-Unis, Agir pour l’école a mis au point une méthode d’apprentissage de la lecture. Elle est utilisée en petits groupes dès la grande section de maternelle. Elle s’appuie sur la conscience phonologique, c’est-à-dire les sons qui composent les mots, mais aussi sur la maîtrise du code alphabétique, la compréhension orale et la fluidité de la lecture.

Agir en classe

De nombreuses associations qui œuvrent pour la réussite à l’école interviennent en dehors du temps scolaire. Agir pour l’école a choisi d’agir au cœur de l’école, plus précisément en classe dans le temps scolaire.

Une expérimentation a été conduite à grande échelle entre 2011 et 2015 en accord avec le ministère de l’Éducation nationale. La Fondation Bettencourt Schueller a soutenu cette initiative avec d’autres partenaires. Elle a impliqué plus de 6 000 enfants de la grande section de maternelle au CE1, dans 350 classes relevant de plusieurs académies. Leurs enseignants ont été formés, outillés et accompagnés par Agir pour l’école.

  • Agir pour l'école
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La Fondation, partenaire de cette initiative

La Fondation Bettencourt Schueller a soutenu cette initiative avec d’autres partenaires. Selon les classes, entre 30 et 50 % des élèves ont une progression très significative. Ces résultats ont été évalués par le ministère de l’Éducation nationale, l’Institut de recherche sur l’éducation et l’Université de Lyon II.

Le soutien de la Fondation dans le domaine de la Solidarité

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