Palais de Tokyo Faire vivre la création contemporaine

Nous sommes en 1937. Paris accueille l'exposition universelle et, pour l'occasion, décide de frapper fort en bâtissant un monumental Palais des Arts destiné à accueillir deux musées. Le Musée de la ville de Paris que l'on connait aujourd'hui et le Musée national d'Art moderne qui vivra de multiples transformations avant de devenir l'actuel Palais de Tokyo.

Ouvert en 2002 à l'initiative du ministère de la Culture pour offrir une alternative au Centre Pompidou et rivaliser avec la vitalité créative de Londres et Berlin, le Palais de Tokyo se veut un lieu hybride, laboratoire d'expérimentations les plus diverses. Agrandi en 2012 pour devenir le plus grand centre d'art contemporain d'Europe ( 22 000 m² ), le lieu présente la création émergeante et les artistes les plus confirmés, alternant expositions thématiques et monographiques, installations et cartes blanches invitant les créateurs à investir l'intégralité des espaces, voire à les transformer de façon inédite. Dans une volonté de transversalité, le musée s'est également ouvert aux métiers d'art via un cycle d'expositions, soutenu par la Fondation Bettencourt Schueller.

Cycle d’exposition sur les métiers d’art

Haut lieu de la création contemporaine, le Palais de Tokyo à Paris avait pour souhait d'inscrire les métiers d’art dans leur époque et les aider à trouver leur place légitime. Il a ainsi développé un cycle triennal d’expositions consacré aux métiers d’art, dont la Fondation a été l'étroite...